Des études menées sur le CBD ont démontré que cette substance ne provoque pas ce type d’effets secondaires. Même s’il est extrait de la fleur de chanvre, la composition même du CBD ne peut pas entraîner des rougeurs dans les yeux. Passons en revue les divers effets secondaires du CBD et découvrons en détail les différences entre CBD et THC.
Pas d’effets yeux rouge avec du CBD
Avoir des yeux rouges en permanence peut effectivement nuire à vos relations. Les gens ont tendance à penser que vous avez une dépendance quelconque vis-à-vis d’une substance illicite.
Il a déjà été prouvé par des études que le CBD permet de soigner divers maux : migraines, l’insomnie, l’anxiété, la dépression, l’acné, ….Il est connu pour ses vertus anxiolytique, anti-inflammatoires, antiépileptique, antibactériennes, antalgiques, immunomodulateurs, antipsychotiques et neuroprotecteurs.
Il a été également démontré que le CBD peut avoir quelques effets secondaires chez certains patients dont la diarrhée, les changements d’appétit et de poids ainsi que la fatigue intense. Toutefois, cette liste des effets secondaires ne mentionnent pas les yeux rouges, enflammés ou larmoyants.
Le CBD est un produit issu du cannabis avec un très faible taux de Tétrahydrocannabinol (moins de 0.2%). Le CBD ne possède donc pas d’effet psychotrope et ne permet donc pas d’être « high ». Il n’est donc pas possible d’accuser le CBD d’être responsable des yeux rouges et larmoyants.
En outre, vous pouvez très bien chercher les causes de ces yeux rouges dans d’autres directions comme les allergies par exemple ou une irritation excessive due à la fumée ou d’autres substances. La légalisation de la vente de CBD en France a permis de s’approvisionner en passant désormais par un vendeur reconnu et certifié de CBD comme notre site et un produit conforme à la législation ne donnera pas d’effet yeux rouges.
Les yeux rouges : une des différences entre CBD et THC
Le CBD et le THC sont tous deux issus de la même plante : le cannabis ou la fleur de chanvre. La seule différence entre les deux est que le CBD n’est pas psychoactif tandis que le THC est un perturbateur classé dans la même catégorie que les champignons magiques, la kétamine et l’ecstasy.
Les diverses parties de la plante de chanvre permettent d’obtenir des concentrés différents de Tétrahydrocannabinol. Les sommités florales permettent d’obtenir la marijuana tandis que les feuilles et les tiges sont consommées sous forme de cigarettes une fois séchées (joints). La résine produite par les fleurs du chanvre peut être séchée puis compressée pour donner une pâte solide (haschich).
La teneur en Tétrahydrocannabinol dans le THC est d’environ 75 à 90%. Le cannabidiol ou CBD n’a pas de propriétés psychoactives car son taux de Tétrahydrocannabinol est faible.
Le CBD quant à lui, permet de se détendre, de se relaxer, de soulager les douleurs physiques. Il n’est pas psychotrope donc autrement dit, il n’altère pas votre état physique et mental. Au contraire, il permet d’agir sur l’hormone du bonheur par exemple.
Pourquoi le THC donne-t-il les yeux rouges ?
Avoir les yeux rouges fait partie des effets secondaires que l’on peut observer chez les gros consommateurs de drogue forte comme la marijuana ainsi que tout autre produit à forte teneur en THC.
Techniquement, ce composé actif fait baisser la pression sanguine. Le THC vient s’accrocher aux récepteurs CB1. En guise de réponse, l’organisme commence à dilater les vaisseaux sanguins dans le corps pour compenser. Les vaisseaux les plus minuscules comme ceux proches de l’œil sont enflammés et se gonflent.
Ce phénomène des yeux rouges est très courant chez les consommateurs réguliers de THC. A long termes, l’inflammation des yeux peut entraîner des conséquences notamment sur la vitesse de traitement des images et de l’information. La perception spatiale peut aussi être erronée. Ce type de décalage peut prêter à confusion et même entraîner des hallucinations. Voilà d’ailleurs pourquoi le code de la route français interdit le volant aux consommateurs de THC car il peut être dangereux de conduire ou de manipuler des objets coupants sous l’emprise de cette substance psychoactive.